Deux ans, ce mois-ci, depuis le lancement de l’indice de qualité de l’air. Parmi les objectifs de ce système, la détection des particules fines qui sont nocives à la santé dans l’air, a permis de mieux combattre la pollution et de faciliter la prise de mesures par les autorités pour réduire les émissions de CO2. Des mesures qui ont d’ailleurs permis à Maurice d’être classé deuxième dans le rapport Mondial sur la qualité de l’air pour l’année 2023. Avec 10 stations à travers Maurice, principalement en milieu urbain, les données recueillies ne reflètent pas cependant l’ensemble du pays. L’extension du service de détection est à l’agenda, pour une meilleure couverture afin de recueillir plus de données.
Plus de détails avec Devindranath Dindyal, Divisional Scientific Officer au National Environmental Laboratory