
Les forces gouvernementales syriennes se sont déployées vendredi dans les quartiers d'Alep récemment repris qui présentaient une vision apocalyptique avec leurs immeubles détruits et leurs rues défoncées, au lendemain de l'évacuation des derniers rebelles.
La victoire sans précédent que représente pour le régime la reprise totale de la deuxième ville de Syrie n'aurait pas pu avoir lieu sans l'engagement militaire de son allié indéfectible, la Russie.
Son président Vladimir Poutine a estimé vendredi que la reprise d'Alep était un "pas très important" vers le règlement d'un conflit qui a fait plus de 310.000 morts depuis 2011.