
On s’intéresse aux Fake news qui dans la plupart des cas nuisent à la vie privée de la victime. Nous nous sommes arrêtés à ce directeur d’une clinique privée qui a fait les frais d’une information non vérifiée ou confirmée. Une affaire qui avait fait la une d’une partie de la presse locale en 2011. Aujourd'hui, cette personne a obtenu réparation devant la justice, mais le trouble moral est bel et bien présent. Du côté des autorités, on laisse entendre qu’ils tentent de juguler la transmission rapide d’Infox, et par la même vérifié la véracité des informations à travers un arsenal juridique.
Compte rendu : Thierry Ramasawmy