Au Bangladesh, Muhammad Yunus, récemment nommé dirigeant intérimaire, a fermement condamné les attaques contre les minorités hindoues, menaçant de démissionner si elles ne cessent pas. Les Hindous, représentant 8 % de la population de 170 millions, subissent des violences depuis la fuite de l'ancienne Première ministre Sheikh Hasina. Alors que les Hindous manifestent dans les rues pour dénoncer ces attaques, qui ont fait plus de 230 morts. Des leaders musulmans et des étudiants protègent les temples hindous et des minorités.