
Ce constat qui retient l’attention des autorités de santé. En 12 ans, le nombre de patients qui nécessite des soins de dialyse a doublé. À août dernier, quelque 1500 Mauriciens étaient sous ce traitement. Dans 10 ans, ils devraient être quelque 2 000. Pourquoi ? Et bien parce que 3/4 des Mauriciens présentent au moins 3 facteurs de risques lies à la maladie rénale. Le vieillissement de la population accentue également la pression sur le système de santé publique. Aujourd’hui, les médecins le répètent encore, avec une bonne hygiène de vie et si les maladies non-transmissibles sont suivies de près, un patient peut retarder sa mise sous dialyse, voire même ne pas y avoir recours.
Reportage : Valérie Kallee