
Maurice dépend fortement de l’importation de grains secs. Les autorités importent 13 mille tonnes de grains secs annuellement au coût de 390 millions de roupies. Parmi ces légumineuses importées, on compte 1,200 tonnes de haricots secs. Afin de réduire notre dépendance à l’importation, et d’encourager davantage les planteurs à cultiver des haricots, le FAREI lance aujourd’hui (jeudi 5 septembre) une nouvelle variété de haricot sur le marché local.
Reportage : Shabneeze-Oozeear Wahedally